L'auteur dans son cabinet de travail
Bio express
Né à Saint Chamond (42), après des études à la Faculté de Lettres Lyon/Saint-Etienne, Bernard Granjean devient professeur de français, d'art dramatique et metteur en scène à Marvejols en Lozère où il crée avec son épouse, Mireille, le Théâtre de la Mauvaise Tête (TMT). Cet auteur amoureux de l'œuvre de Gabriel Chevallier et de la langue des gones, nourri aux généreuses mamelles de la BD Belge, des romans de San Antonio et de Charles Exbrayat, a d'abord écrit pour le théâtre avant de tâter de la nouvelle puis d'oser le polar d'action et d'humour.
Les romans
Des cartoon-polars : Une véritable enquête menée à la vitesse et sur le ton du cartoon par le commissaire Raoul Bavart et l'Abbé Jean-Marie Bette, envoyé (très) spécial du Vatican, dans la bonne ville de Lyon et dans le Beaujolais.
Un polar humoristique à Lyon et ses alentours. Une intrigue originale, avec des personnages uniques et attachants. Pour tous ceux qui aiment les polars, pour ceux aussi qui n'aiment pas trop les polars, pour ceux qui aiment lire un livre vivant, gai même dans la tragédie et la souffrance, pour ceux qui aiment la vie...
Christian Nomine, Lecteurs.com
Déductions, interrogatoires, coups tordus, coups de bol, coups de théâtre. Enrobés de cholestérol, gratins et gratons. Délayés dans du jus de la treille 100% Gamay, et voilà la recette d'un cocktail efficace et roboratif.
Sébastien Baud, Serial lecteur
Le Gone et la Nonne
Résumé
La bonne ville de Lyon : sa bourgeoisie, son clergé, sa gastronomie
Le Père Jean-Marie Bette, un géant au crâne chauve, envoyé spécial du pape, un curé superflic et franc-tireur, Jésuite comme le Saint-Père. Il a carte blanche pour remplir ses missions. Pour cela François l'a relevé de ses vœux et s'il continue à porter la soutane, même pour chevaucher sa Norton Commando de 1973, c'est pour des raisons très personnelles : « L'habitude du confort : les fesses au chaud l'hiver, à poil l'été sans risquer l'exhibitionnisme ! » Il est à la recherche d'une jeune nonne enlevée de son couvent.
Le commissaire Raoul Bavart « avec un T comme Torgnole ou Tartignole, c'est selon », un petit homme, style nain de jardin ou lointain descendant de Toulouse Lautrec. Il enquête sur l'accident domestique qui a coûté la vie à Monsieur Jean, son indic.
Leurs chemins se croisent et les deux amis, qui s'étaient perdus de vue après leurs études de droit, forment un tandem de choc. Deux enquêteurs truculents, gastronomes avertis et amateurs de beaujolais, pas vraiment sérieux ni politiquement corrects, confrontés à : parents indignes, écrivain parano, fonctionnaire véreux, ecclésiastiques scandaleux, squatteurs douteux, cadavres piteux, magouilles pharmaceutiques, blanchiment d'argent, assassinats, enlèvements, séquestrations… et un final dans une clinique helvétique.
Ils en ont pensé :
Sébastien Baud – Hannibal Lecteur, Sérial Lecteur
Quinze jours ! Quinze jours que je n'avais pas lu un bouquin dont l'intrigue se déroule à Lyon. Du grand n'importe quoi, une éternité. Limite du masochisme.
Il me fallait donc ma dose, en l'occurrence « Le gone et la nonne », fournie par Bernard Granjean, dealer littéraire du jour.
Léa est au couvent, mise là par ses parents pour la mettre au pas et la punir d'avoir eu le toupet de refuser le mariage qu'ils avaient prévu. Seulement, la religion elle s'en tamponne et en jeune femme pleine de vie, elle a le dindon qui crie famine. Alors, quand le bel Enzo vient organiser un stage, le feu au derche vire à l'incendie. C'est réciproque. Quelques jours après, elle s'évade de cette taule qui ne dit pas son nom.
Pour la réputation de la maison, pas question d'avertir les roussins. C'est l'abbé Bette qui est envoyé par le Vatican, rien que ça, pour retrouver la miss. En voyant les pratiques de la boutique, il comprend pourquoi elle s'est barrée, et s'il part à sa recherche, c'est juste pour lui dire qu'elle a raison.
Peu après l'évasion de Léa, chez ses parents, un domestique est retrouvé clamsé en bas des escaliers. Accident, meurtre ? Là c'est l'affaire du commissaire Bavart avec un T comme Ta gueule. Un flic qui méprise autant le vouvoiement que les procédures.
Le cureton et le poulet, anciens acolytes, vont se retrouver et faire équipe pour mettre de l'ordre dans tout ce merdier.
C'est un polar gras comme des grattons, mais ça passe tout seul avec les innombrables pots de gouleyants Beaujolais qui jonchent le récit. En voilà deux qui n'oublient pas de se mettre à table, et pas pour faire des aveux.
L'auteur ne s'embarrasse pas avec des détails techniques ou procéduriers, un polar « à l'ancienne », de l'action, des tartes dans la gueule des prévenus pour délier les menteuses. Et ça fonctionne.
Pas de temps mort, à fond sur la Norton jusqu'au final.
Et un Lyon bien dans son jus, de la Tête d'Or à la Croix-Rousse en passant par Ainay.
J'ai eu ma dose, je suis soulagé.
PS : Encore une fois, ce que j'appelle le re-baptême littéraire ponctuel, le temps d'un paragraphe, le commissaire Raoul est renommé Victor. Pas de quoi troubler le lecteur.
René ESCUDIE, romancier et dramaturge
Je viens de terminer Le gone et la nonne et je suis ravi. Les personnages sont superbement campés. Les principaux sont truculents et pleins de surprises. Les seconds couteaux ne sont pas mal non plus.
Et puis, qu'est-ce qu'on se régale à la lecture des repas et autres mâchons ! Je crois qu'après le confinement, j'irai faire un tour à Lyon...
Te lire me faisait penser à Gabriel Chevallier, un auteur plein de sève et aussi à Charles Exbrayat mais en plus fin.
Ton roman m'a vraiment fait passer d'excellents moments.
Au Gai Canut
Résumé
Pour leur deuxième aventure lyonnaise, le Père Jean-Marie Bette, un géant au crâne chauve, jésuite envoyé spécial du pape, curé superflic et franc-tireur, associé au commissaire Raoul Bavart avec un « T » comme Torgnole ou Tartignole - selon son humeur–, un poids plume au physique disgracieux qui a oublié de grandir, policier aux méthodes plus que discutables, sont confrontés à une série de meurtres qui mettent en ébullition le « Gai Canut », un EHPAD haut de gamme qui reçoit la crème du troisième et quatrième âge lyonnais, autrement dit les vieux riches dont les respectables familles sont prêtes à payer le prix fort pour en être débarrassées.
Dans ce (presque) huis-clos, nos deux truculents enquêteurs, pas très sérieux ni politiquement corrects, toujours passionnés de gastronomie et de beaujolais, mènent une enquête qu'un nouveau cadavre embrouille un peu plus tous les jours, et que des résidents, pittoresques et bien déjantés, compliquent à plaisir. Heureusement ils ont à leurs côtés Mémé Toinon et la petite Jeanne, toutes deux pleines de bon sens.
Un second « Cartoon polar » avec une intrigue solide et un humour particulièrement efficace qui offre un vrai moment de détente.
Ils en ont pensé :
Sébastien Baud
Lectures 2023 – Expérience 19 « AU GAI CANUT »
... (Texte complet de l'avis de Sébastien Baud) ... Bernard, une autre tournée, steplait.
René ESCUDIE, romancier, dramaturge
Je viens de refermer « Au gai canut » (ce que j'aurais dû faire depuis longtemps) et je ne résiste pas au plaisir de te dire tout le bien que j'en pense.
Ma lecture a, en effet, été émaillée d'éclats de rire et c'est un plaisir jubilatoire de suivre tous tes personnages. Ils sont vraiment de haulte graisse comme disait Rabelais à qui l'on pense souvent ; Même les petites filles sont rabelaisiennes et l'épisode du pipi sur le fauteuil m'a comblé de joie. Tu les mènes vraiment de main de maître et ce n'est pas chose facile de faire évoluer une trentaine de personnages en leur conservant identité et fonctionnement. Même les moins agissants ne sont pas que des silhouettes.
Je suis aussi très épaté par la maîtrise de l'intrigue. Elle n'est pas simple, loin de là, mais tu en joues vraiment avec maestria et ce n'est vraiment pas facile de fournir à la fin deux solutions aux énigmes, une officielle et une autre réservée aux deux personnages principaux. Chapeau ! C'est du grand art.
Olivier Girard (Infirmier anesthésiste)
Je viens de finir avec enthousiasme votre deuxième livre « Au gai canut ». Quel régal, comme « Le Gone et la none », je suis fan du Père Jean-Marie Bette et de Bavart avec un T comme « Tu es obligé d'en faire un troisième ». Pour moi vous étiez Le professeur de Français qui a marqué mes années lycée et maintenant vous êtes l'auteur de polar qui enchante mes années de quinquagénaire. Alors s'il vous plaît un troisième, un quatrième et n'arrêtez pas.
Merci encore.
Olivier Girard
Les Mousquetaires de la Croix-Rousse
Résumé
Troisième jeudi de novembre à Clochemerle : Au cœur du Beaujolais, l'improbable duo d'enquêteurs formé du commissaire Raoul Bavart avec un " T " comme Torgnole ou Troquet, (un poids plume aux méthodes " à l'ancienne "), accompagné de son comparse l'abbé Jean Marie Bette, (un géant au crâne chauve, Jésuite, envoyé spécial du pape, un curé superflic et franc-tireur), célèbrent bruyamment l'arrivée du vin nouveau. Mais la fête est écourtée par la disparition de Monseigneur Piétri qui coulait une paisible convalescence dans une communauté charismatique lyonnaise. Cette disparition sera suivie d'autres tout aussi inexplicables qui conduiront nos duettistes à des allers-retours Beaujolais/La Croix Rousse.
Une nouvelle enquête bien déjantée, à l'image de nos héros et des personnages qui croisent leur route : une certaine Marie-Caroline onychophage frustrée, un poète maudit, des squatteurs analphabètes, un cul-de-jatte priapique, un journaliste stripteaseur, une veuve rapiate, un ex-flic limogé pour excès de zèle et bien d'autres.
Une intrigue bien ficelée qui tient en haleine jusqu'au bout : un authentique polar mais aussi un polar pour rire grâce à l'écriture jubilatoire et à l'humour roi ! Ce troisième opus des enquêtes de Raoul Bavart et Jean-Marie Bette complète brillamment les précédents.
Ils en ont pensé :
Culture - Loisirs, Vaux-en-Beaujolais
Ainsi dignement baptisés, "Les Mousquetaires de la Croix-Rousse" débarquent sous la plume jouissive de Bernard Granjean.
L'auteur signe ici sa troisième enquête policière dont les héros sont aussi truculents qu'intuitifs. Ce sont le commissaire Raoul Bavart, avec un " T " comme Torgnole ou Troquet, et son comparse l'abbé jésuite Jean-Marie Bette, un géant au crâne chauve, envoyé spécial du pape, qui mènent la danse. On l'aura compris. S'il s'agit bien de meurtres et disparitions en série, l'heure n'est pas si grave.
L'enquête nous entraîne dans un monde fantaisiste et débridé, un univers burlesque où la langue de Clochemerle télescope le parler lyonnais.
Les amateurs de polars décalés ou mieux, de "cartoon polar", sauront s'y retrouver.
Claude Picq Romancier (Les enquêtes de Cicéron Angledroit etc.)
Alors, bon...certes...je ne suis pas blogueur et pas non plus spoileur mais faut qu'j'vous dise que je passe un excellent moment de lecture avec le somptueux polar de Bernard Granjean ... On voit que ce jeune auteur fait de la mise en scène dans l'civil... pas de temps morts, on passe d'une situation à l'autre comme une grenouille d'un nénuphar à l'autre. Une intrigue bien tournée, des personnages bien vus, Lyon et sa gastronomie comme colonne vertébrale, le Beaujolais pour faire glisser... Une enquête d'un réalisme à pousser au suicide tous nos amis flics-auteurs. Rien de tel que la liberté vis-à-vis d'un corporatisme monobloc! Un véritable road-trip dans le 69 doublé d'un page-turner efficace.
Ça s'appelle : "Les mousquetaires de la Croix-Rousse " et c'est chez Éditions Héraclite.
Merci Bernard ! Comme dit la chanson.
Une lectrice anonyme
J'ai terminé « les Mousquetaires de la Croix Rousse », j'ai été bluffée !!
Cette enquête est rocambolesque, et pourtant la trame de fond est dramatique et particulièrement en résonnance avec notre actualité, mais garde une certaine morale saine et salvatrice.
Lyon people, Jacques Bruyas, auteur dramatique et romancier, président de l'Union des écrivains Rhône-Alpes Auvergne
Un livre désopilant et bougrement charpenté. Un grand Cru.
À paraître
Clap tragique à Clochemerle
Un jeune cinéaste réalise une adaptation de « Clochemerle », le roman de Gabriel Chevallier, avec les habitants de ce pittoresque bourg du Beaujolais. Très vite l'entreprise tourne court. Dès le premier clap : un cadavre ! Celui du bon curé Pigeonneau.
Le hasard, infatigable allié des auteurs de polar, fait que le tandem atypique, formé du commissaire Raoul Bavart avec un « T » comme dans passage à Tabac et de l'abbé Jean-Marie Bette, un géant au crâne chauve, barbouze envoyé spécial du Vatican, s'empiffre dans un restaurant voisin avec leur ami gendarme, le chef Achille Piéchut.
Pour mieux enquêter, le jésuite reprend la charge du curé de Clochemerle et le commissaire se fait engager dans l'équipe technique du film, ce qui n'empêche pas, hélas, le tournage de virer au jeu de massacre sous le regard réjoui de Gabriel Chevallier, d'Albert Dubout et des personnages truculents du roman reproduits sur la fresque près de la fameuse pissotière.
Une fantaisie policière arrosée au beaujolais nouveau. Une enquête aux multiples rebondissements et à l'écriture jubilatoire.
Les nouvelles
L'abbé Bette du Gévaudan, dans le hors-série Le Poulpe court toujours (ouvrage collectif)
Divagations sur 20 incipits célèbres, recueil. 2023
N'co éditions : 38200 Vienne (Indisponible actuellement)
Recueil de vingt nouvelles qui commencent chacune par la première phrase d'une œuvre célèbre : de la Genèse au Goncourt 2020, de Diderot à Marc Levy, en passant par Proust, Camus, Kafka ou Vian...
Un patchwork d'histoires courtes, noires ou pas, qui, derrière l'humour ne sont pas si déconnectées de la réalité qu'on pourrait le croire.
Ils en ont pensé :
Paul Fournel (longtemps secrétaire définitivement provisoire de l'OULIPO, auteur de romans, de nouvelles, de poésie, de pièces de théâtre et d'essais. Prix Goncourt de la nouvelle en 1989)
« Cher Bernard Granjean,
J'ai pu lire votre texte entre deux cartons de déménagement et j'y ai pris grand plaisir. Votre idée est intéressante et il est drôle de voir ce qui peut sortir de différent et de paradoxal d'une même phrase de départ.
Vos textes sont joueurs et inégaux (c'est la loi du genre) et ils semblent ne pas vouloir se prendre au sérieux, ce qui est une vertu !
Je vous remercie,
Paul Fournel »
Sébastien Baud
Lectures 2024 N°14
Incipits : premiers mots d'un livre. Sélectionnés parmi des œuvres marquantes de la littérature (sauf une) par les bons soins de Bernard Granjean, ils sont à leur tour les incipits de vingt nouvelles, vingt « Divagations » courtes et contemporaines.
Divagations oui, le sémillant auteur laissant libre cours à son imagination féconde. Il nous transporte le temps de quelques pages tour à tour aux portes de l'au-delà, dans la peau d'un limier, dans l'esprit d'un fantôme ou sur le dos d'un cygne.
Il y a des crimes et des résurrections, des bonnes fortunes et des malheurs, des humanistes et des salopards, un peu d'ésotérisme et beaucoup de réalisme.
Ici, le Covid rôde, là les forces de la forêt se vengent, ailleurs des bretons se travestissent…
D'une nouvelle à l'autre, le noir fait place au lumineux. Avec toujours en fil rouge, cette pointe d'humour savamment dosée en fonction de la circonstance.
Divagation, cependant il faut voir. A chaque nouvelle sa finalité. Pas de morale lénifiante. De la nécessité de mettre un peu de légèreté dans nos vies au constat de l'absurdité ambiante de notre société en passant par l'individualisme grandissant du genre humain, le spectre est large.
On notera la souplesse de l'auteur, il en faut pour faire sans dommage le grand écart entre Diderot et Camus, et surtout entre Lévy et Céline.
Je verrais volontiers un tome deux, avec, j'en profite pour placer mes goûts, des incipits signés Dard, Blondin, Cohen, La Fontaine, Bukowski, Desproges, Audiard et tant d'autres.
Et en clin d'œil à une célèbre émission : Merci Bernard !
Matei Visniec (Dramaturge et Romancier, Auteur du roman : Le marchand de premières phrases)
« La première phrase d'un roman est le cri irréfléchi qui provoque l'avalanche… C'est l'étincelle qui déclenche la réaction en chaîne… Une première phrase n'est jamais innocente. Elle contient le germe de toute l'histoire, de toute l'intrigue. La première phrase est comme l'embryon de tous les possibles, comme un spermatozoïde chanceux, si vous voulez bien me permettre cette comparaison… »
Bonjour Bernard, et merci pour ton livre et la vieille lettre qui, effectivement, n'est jamais arrivée chez moi… Tout ce que tu me dis sur mon roman et sur nos aventures théâtrales communes me touche beaucoup. Mais ton livre aussi touche ma fibre émotionnelle car j'aime ton écriture et ta démarche pleine d'humour et de passion littéraire. Je savoure tes textes et j'apprends aussi beaucoup sur certains auteurs que je ne connais pas très bien ou pas de tout. Un grand bravo pour cette pépite qui m'aide à découvrir tes talents cachés…
J'espère te croiser à nouveau un jour, je serai à Avignon en juillet.
Amitiés
Matéi
Le Mystère de la Villa Malzac
Une NOUVELLE originale de Bernard Granjean, illustrée par Jacques Chaumard
Le "22 au 22" de Février approche. C'est avec plaisir que nous vous invitons à découvrir la nouvelle écrite par Bernard Granjean et illustrée par Jacques Chaumard.
Bien sûr, ce mystère a pour décors les ateliers d'artistes de la Villa et son histoire.
Bernard, pour l'occasion, vous proposera une lecture déambulée d'ateliers en ateliers.
Si le cœur vous en dit, le livre sera en vente sur place au tarif de 8 €.
Vidéos
À l'occasion de la parution de Le Gone et la Nonne (2021)
Rétrospective (enseignement et théâtre) et présentation du cartoon polar
Salon du livre « Au fil des mots » Juillet 2024
Interview sur le cartoon polars
Agenda
Au programme : Tombola, petite restauration, animations, conférence (Valérie Brun), parrain (Florent Marotta), prix CHAPOLARS et prix Coup de Cœur à 14h.
Contact
Tous mes polars sont en vente :
- En librairie (en rayon dans les bonnes librairies, en commande dans les autres)
- Ou directement sur le site de l'éditeur
"Divagations" N'CO éditions, Momentanément indisponible
Ils en parlent aussi
Alain Mascaro, écrivain (et grand voyageur)
J'ai enfin trouvé du temps pour lire votre livre d'une traite ! Et je me suis bien amusé ! Cela m'a rappelé le temps où je dévorais les San Antonio. Du reste, il y a bien quelque chose d'Alexandre Benoît Bérurier dans votre Jean-Marie, mâtiné de Frère Jean des Entommeures. Votre Cartoon Polar s'inscrit parfaitement dans la tradition lyonnaise et beaujolaise (Clochemerle !) en donnant envie au lecteur de manger des quenelles, de la cochonnaille et du fromage tout en buvant des canons. J'ai aimé l'irrévérence, l'humour, la truculence, les jeux de mots (j'aime beaucoup celui-ci par exemple : « Va la renifler ta chaude piste, tête de mule ! ») Je me suis bien amusé et mon voyage en train depuis Paris m'a semblé plus court. Merci à vous pour ce moment qui a accroché un sourire en coin à mon visage durant tout le trajet. Du coup, ma voisine de train a décidé de lire votre roman elle aussi ! Je l'ai aussi offert à des amis du Beaujolais.
Loredana Cabassu (Auteure de nouvelles)
Du suspense, de l'humour, des surprises au détour d'une phrase. Une enquête bien ficelée, rien n'est laissé au hasard, rien n'est superflu.
Il y a beaucoup de situations cocasses, de l'humour de langage et de l'ironie. Les dialogues sont théâtraux, c'est le cas de le dire, vu le passé scénique de l'auteur. Navigant entre la France et la Suisse, l'auteur surprend la couleur locale à travers des régionalismes pittoresques. Les personnages le sont tout autant. Chacun sa façon de s'exprimer. En plus, ça fait du bien d'échapper un instant au politiquement correct qui oblige à une vigilance permanente et fatigante. Heureusement qu'il y a encore la littérature pour sauver les mots passés à la trappe.
J'ai apprécié aussi l'absence d'images choquantes et de macabre. C'est un polar non-polaire dans le sens qu'il ne fait pas froid dans le dos mais suscite des émotions positives.
François Habran "Irresponsable de la communication"
Ça y est, je l'ai lu. Sans aucune difficulté…Et je me suis amusé. C'est le principal.
Marcel et Mariëtte, lecteurs Néerlandais
C'était avec grand plaisir que j'ai lu votre livre "Le Gone et la Nonne". Le style est légère et était très facile à lire pour moi. Il me paraît pas du tout facile d'inventer une histoire comme vous avez fait. Au début il y a plusieurs affaires individuelles (qu'on croit) qui se mélangent à la fin. L'affaire d'écrivain restait encore le plus long temps un mystère.
Par ailleurs c'est une histoire avec beaucoup d'humour avec les deux personnages (qui me semble de temps en temps un peu trop malins), le commissaire Raoul Bavart avec le T (de toutes différentes choses) et le père Jean-Marie avec pour le dernier un drôle de tour à la fin. Je vous remercie encore pour m'offrir votre livre, c'était un grand honneur pour moi. Nous donnons beaucoup de salutations
Roger X (plombier de son état)
Merci pour votre livre un bon moment de lecture une belle enquête policière menée avec simplicité et humour. Que du plaisir ! J'attends la suite bonne journée.
Aurélie C… (étudiante)
J'ai eu enfin le temps de lire votre livre et je dois dire que je me suis régalée !
J'aime beaucoup Tonino Benacquista et Daniel Pennac, et en vous lisant, je me suis retrouvée dans cette même atmosphère de loufoquerie pleine de rebondissements et de clins d'œil. Je vous en remercie !
Une lectrice anonyme
Je viens de terminer votre "Cartoon Polar, Le Gone et la None"....
J'ai hâte de me plonger dans le suivant.
Quel rythme, quelle gouaille, avec ce duo improbable et pourtant si complémentaire.
Au début j'avais l'impression de regarder du théâtre et ensuite un film, étant Lyonnaise d'origine, j'ai pu avec les endroits cités me replonger dans ce qu'était ma ville et sa périphérie il y a quelques années, car aujourd'hui tout est bien différent.
Gérard Truchet (Président de la République des Canuts, Président de l'association des amis de Lyon et de Guignol)
Monsieur,
Tout d'abord merci pour l'envoi de vos deux ouvrages. Ils sont bien arrivés à destination. Ensuite, je les ai lus avec beaucoup de plaisir. Vos mots lyonnais sont mis en situation. Vos textes sont très vivants, nous nous laissons rapidement prendre par l'action du scénario. Nous évoluons dans les lieux où se déroulent les scènes, avec simplicité et bonheur. Excellent travail d'écriture ! Une aventure à poursuivre...
Je vais me faire un plaisir d'en faire profiter mon entourage.
Bien cordialement
Le Président